La variété des paysages de l’Inde se retrouve dans la nourriture locale. Les nombreuses épices cultivées permettent une multitude de combinaisons.
Pour de la mixité dans votre assiette il y a le thali. Ici avec un curry de poulet, du mouton Masala, un mélange de légumes appelé Korma et un Dahi en dessert, fromage blanc fait maison dans lequel on peut ajouter du miel ou du sucre.
Nous avons aussi testé le poulet Kadai à base de poivrons et de tomates, en photo ci-dessous avec le poulet masala et le poulet saagwala aux épinards. Ainsi que le poulet Mughlai avec des amandes dont la couleur tire un peu plus sur le marron. Vous l’aurez compris, il y a une quantité de déclinaisons possibles.
Il faut savoir que le nord de l’Inde, et notamment le Rajasthan, est principalement végétarien et dans certaines villes nous n’avons pas réussi à trouver des restaurants non-végétariens. En particulier dans le fort de Jodhpur. Les bons steaks attendront notre retour en France, vache sacrée oblige!
Mais les plats végétariens sont tellement bons et variés qu’ils nous ont fait oublier la chair pendant notre séjour. Le paneer, fromage fermenté à base de lait de vache, remplace la viande dans de nombreux plats, tout comme le tofu qu’on ne présente plus. Les œufs sont également de bons palliatifs aux protéines.
Nous trouvons aussi des plats avec des boulettes de fromage, le Malai Kofta, ou un autre avec des pommes de terre au curry, le Aaloo Gobhi chilly. Accompagné de Jira Rice, riz au cumin, c’était très bon.Avec un de nos guides nous avons découvert d’autres mets végétariens comme le upma, de la semoule cuite comme un porridge et tassée avec des légumes, du masala dosa qui est une galette à base de farine de lentilles noires appelées urd, fourrée de pommes de terre et de légumes. Et il y a aussi le idli, gâteau blanc cuit à la vapeur composé de riz et de lentilles noires fermentées. Quant à la boisson, impossible de vous donner le nom, mais ça ressemblait à un bouillon de curry avec plein d’épices. Délicieux!
Nature, à l’ail ou au fromage et idéal pour finir tout ces plats en sauce, c’est le naan. Dans la catégorie pain il y a aussi le chapati qui est une galette de blé.
Et si vous préférez manger dans la rue rien de tel que ces petis boulettes de viandes avec une sauce à la menthe ou ce friand fourré aux légumes. Le gâteau idli s’achète aussi à chaque coin de rue ainsi que toutes sortes de pâtisseries bien trempées dans l’huile.
Ou ces petits cornets de riz, tomates et haricots emballés dans du papier journal à déguster tout en se baladant.
Pour faire passer le tout rien de tel qu’un Masala Chaï, la boisson préférée de Kévin. Faite avec du thé noir et du lait, on lui ajoute beaucoup de sucre, du masala et toutes sortes d’épices telles que la cannelle, le gingembre, la cardamome, l’anis ou encore des clous de girofle et j’en passe…
En fin de repas, une petite douceur appelée mukhwas et composée de sucre, d’anis, de fenouil et de menthe est proposée dans la majorité des restaurants pour faciliter la digestion et l’haleine car la cuisine indienne est forte en oignons…
Même si nous nous sommes souvent régalés, nous flottons un peu dans nos pantalons maintenant. Mais nous sommes d’attaque pour découvrir la cuisine japonaise, trakass pa zot.
c’est quand meme très appétissant j’ adore les spécialités
mais cela ne vaut pas un bon magret de canard avec des pommes
sarladaises .j’ai hate de vous faire un bon plat. gros bisous